mardi 20 octobre 2009

Journée de repos – Sur les terres de Dawa

Taksindu (2700 m) - Karicola (2040 m)
km - D+ m / D- m

La nuit a été assez agitée (mais c'est finalement habituel) ; ronflements à 4 (si Isa s'y met …) Patrick empêche Marc de dormir qui, à force de lui donner des coups de coude, le fait tomber du lit bruyamment, tout coincé qu'il est dans son duvet ! Tous réveillés et morts de rire, on fait une sortie toilettes groupée.

Lever à 6 h. petit déj : riz au lait, omelette et chapati

Départ pour le monastère où on assiste à 1 h 30 de cérémonie. On n'y comprend pas grand-chose, ça manque d'explications. Dommage car c'est exceptionnel de pouvoir y assister. Tsampa et biscuits nous sont servis à profusion.
Le soleil est bien présent à notre sortie. Il fait à la fois beau et bon car on n'est qu'à 2700 m.
On descend ensuite visiter la maison du frère de Dawa : on nous y sert du thé, des pommes de terre et des épis de maïs bouillis. On sent que la maison a été préparée pour notre venue. Les femmes on mis leurs beaux habits. On reste sur la terrasse au soleil un bon moment puis on va visiter la maison de Dawa, juste à côté. On nous propose encore du thé mais tout le monde est repu.
Ensuite, on part pour rejoindre Karicola. Longue marche, on descend en permanence. Cette zone est très habitée, très active. Beaucoup de végétation et de cultures.

Petite collation avant de monter sur Karicola. On double des convois de mules et de yacks. Pas facile à doubler. La montée se fait par un chemin tout en marches : l'escalier est interminable.
Arrivée à Karicola à 16 h. C'est ensuite la'habituelle cavalcade pour les chambres. Pierre et Patrick gèrent bien : on obtient une chambre pour 4. Ensuite, la routine habituelle : douche (chaude pour 100 roupies) lessive. Puis on va se faire une petite grimpette jusqu'aux stupa et monastère locaux ; encore des marches !

Dîner : très bonne soupe aux légumes et pommes de terre. Pates sauce tomate-fromage râpé. Comme d'habitude on est privé de dessert. Heureusement qu'il reste du chocolat amené par Pierre.

Après le dîner, une fête est donnée en notre honneur : musique et danses locales.

La chambre que l'on occupe est en fait une pièce privée que le proprio a mis à notre disposition, juste au dessus de la cuisine. Le conduit de cheminé la traverse et, une fois de plus, on est enfumé…

La fête se prolonge, très sonore. Après le local, on passe à l'électro. Discours interminable d'un officiel. Fin à 23 h 30 : on peut enfin dormir !

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Fou rire grâce à l'histoire de Patrick qui tombe du lit !!

Et j'espère qu'il ne parle pas de ma mère quand il légende "(bloqués derrière des Yacks) puis derrière les mulets"...

: )
Laure